Comment protéger le mobilier urbain de l’incivisme des automobilistes et des populations
Les villes camerounaises aspirent à des routes normées. Cependant, plaques signalétiques, garde-fous, lampadaires, espaces verts, abris pour passagers aux arrêts bus et taxi sont régulièrement vandalisés par des automobilistes et les populations. Les maires des villes sont engagés à réduire la destruction du mobilier urbain à sa plus simple expression. Par exemple à Douala, un comité casseur-payeur a été mis sur pied. L’instance aura pour mission de faire payer toute facture liée à la destruction d’un mobilier routier par son auteur.